miércoles, 30 de enero de 2008
JEU DU TELEPHONE - Natacha Snitkine
Les filles, les garçons
Les garçons et les filles
On ne pense qu'à chahuter
C'est normal car on se réunit
Pour s'amuser
On joue ensemble à un jeu
Qui n'est pas compliqué
Le jeu du téléphone
Il suffit
D'appeler dans la nuit n'importe qui
Bonsoir c'est moi
Devine qui je suis
Tu ne sais pas
Mais voyons réfléchis!
Et on invente des histoires
On raconte mille blagues
ça n'a pas d'importance
On s'amuse en restant dans le vague
Quand on questionne
On appelle ça le jeu du téléphone
Comment ?
Qu'est-ce vous dites?
Ah non, ce n'est pas Jacqueline
Ah, ce n'est pas Suzie non plus
Ah ah ah oui, c'est Natacha
Bonsoir c'est moi, tu ne me reconnais pas?
Pourtant voyons, tu connais mon prénom
Et on invente des histoires
On raconte mille blagues
ça n'a pas d'importance
On s'amuse en restant dans le vague
Quand on questionne
On appelle ça le jeu du téléphone
domingo, 27 de enero de 2008
viernes, 25 de enero de 2008
miércoles, 23 de enero de 2008
domingo, 20 de enero de 2008
viernes, 18 de enero de 2008
miércoles, 16 de enero de 2008
RADIO OH-LA-LA
martes, 15 de enero de 2008
BAUDELAIRE Serge Gainsbourg
Que j'aime voir chère indolente,
De ton corps si beau,
Comme une étoffe vacillante,
Miroiter la peau,
Sur ta chevelure profonde aux accres parfums,
Mers odorantes et vagabondes,
Aux flots bleus et bruns,
Comme un navire qui s'éveille au vent du matin,
Mon âme rêveuse appareille pour un ciel lointain.
Tes yeux ou rien ne se revele de doux ni d'amer.
Sont deux bijoux froids ou se mêlent l'or avec le fer,
A te voir marcher en cadence belle d'abandon,
On dirait un serpent qui danse au bout d'un bâton.
Sous le fardeau de ta paresse, ta tête d'enfant,
Se balance avec la mollesse d'un jeune éléphant,
Et ton corps se penche et s'allonge comme un fin vaisseau,
Qui roule bord sur bord et plonge ces vergues dans l'eau.
Comme un flot grossit par la fonte des glaciers grondants
Quand l'eau de ta bouche remonte au bords de tes dents,
Je crois boire un vin de bohème amer et vainqueur,
Un ciel liquide qui parsème d'étoiles mon coeur.
De ton corps si beau,
Comme une étoffe vacillante,
Miroiter la peau,
Sur ta chevelure profonde aux accres parfums,
Mers odorantes et vagabondes,
Aux flots bleus et bruns,
Comme un navire qui s'éveille au vent du matin,
Mon âme rêveuse appareille pour un ciel lointain.
Tes yeux ou rien ne se revele de doux ni d'amer.
Sont deux bijoux froids ou se mêlent l'or avec le fer,
A te voir marcher en cadence belle d'abandon,
On dirait un serpent qui danse au bout d'un bâton.
Sous le fardeau de ta paresse, ta tête d'enfant,
Se balance avec la mollesse d'un jeune éléphant,
Et ton corps se penche et s'allonge comme un fin vaisseau,
Qui roule bord sur bord et plonge ces vergues dans l'eau.
Comme un flot grossit par la fonte des glaciers grondants
Quand l'eau de ta bouche remonte au bords de tes dents,
Je crois boire un vin de bohème amer et vainqueur,
Un ciel liquide qui parsème d'étoiles mon coeur.
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